petite bio de l'artiste

Rodrigue Glombard vit et travaille à Lyon depuis 1991. Formation aux Beaux Arts de Besançon de 1983 à 1989.

Il expose régulièrement en France, ainsi qu'en Espagne et en Martinique.

Galeries qui le représentent :

- à Lyon chez Racont'ARTS de Sylvie Garrigues,

- en Martinique La Galerie de Colette Nimar à Fort-de-France 

- à Paris : Galerie Bettina von Arnim

- à Barcelone : SAFIA Galeria

 

Musées : depuis 2009 ses peintures sont présentes dans le fond permanent de la Fondation Clément au François et en septembre 2019, une installation est présentée au Musée des Confluences de Lyon "Prison, au-delà des murs", puis en 2020 au Deutsches Hygiene-Museum de Dresde en Allemagne.

Ventes aux enchères : le 9 février 2019 chez Martinique Enchères à Fort-de-France

 

Il a gardé de ses débuts le goût de la co-création avec d'autres artistes et il crée des scénographies pour des compagnies qui rejoignent ses préoccupations et valeurs : 

Les danses urbaines comme la Compagnie Malka ou de théâtre : Compagnie Combats absurdes.

 

"D'origine martiniquaise, il puise en ses racines créoles comme dans le terroir métropolitain, le ferment d'une culture hybride donnant à sa vision le caractère d'une appartenance au monde dans son ensemble.

Rodrigue développe son oeuvre plastique indistinctement autour de l'image bidimensionnelle ou tridimensionnelle, passant de la peinture à l'installation monumentale, de la photographie à la sculpture, du dessin à la scénographie."  extrait d'un article de JP GAVARD PERRET

 

Il a mené de janvier 1997 à décembre 2013, une démarche singulière:

“Une peinture chaque jour”, consistant à consigner quotidiennement une peinture ou un dessin dans des carnets. Toutes ces dates ont leur dessin ! 

 

Le travail de Rodrigue s'articule autour de la temporalité, du temps qui passe, du temps passé et de ses traces.
Les thèmes récurrents de ses diverses créations sont liés au temps, à la mémoire, à l'éphémère, à la continuité, à la fragilité de notre environnement face à nos agissements, mais aussi, à notre propre fragilité face aux réactions de la Nature lorsqu'elle décide de reprendre ses droits.